Dans un système alimentaire totalement mondialisé, l’injonction à « manger local » sonne comme un paradoxe.

Les Etats sont à la recherche d’une « souveraineté alimentaire » dont la définition est fluctuante. Peu à peu émerge une prise de conscience : la mondialisation nous a mis dans une situation complexe et dangereuse qu’il va falloir faire évoluer. Au-delà d’une quête de consommation locale, il nous faut penser et construire un système agroalimentaire plus sûr.

Nous parlerons aussi des Plans Alimentaires Territoriaux, dont celui en réflexion sur le Mézenc-Loire-Meygal.

Intervenants : Chloé Landriot et Anne Sophie Quaisse, de l’association les Resiliacteurs ; Sarah Pezet de l’association l’Atelier des Possibles ; présence d’un ancien éleveur/producteur local ainsi que d’un représentant d’une enseigne de distribution.

Participation au chapeau ( 5€ conseillé) – durée max 2h.